Tout est fait pour que la qualité des produits que nous vous proposons soit à la hauteur de vos exigences !
Tant au niveau de l’alimentation que des espaces d’élevage, nous mettons tout notre savoir et notre amour du métier pour élever nos animaux dans les meilleures conditions possibles.
Bien entendu, l’espace dans lequel vivent toutes nos bêtes est primordial, mais aussi la lumière, la paille, les prés, l’hygiène, la nourriture et tout l’environnement dans lequel nous nous efforçons de maintenir nos bêtes loin du stress de la surpopulation…
Comme l’homme, l’animal a besoin d’une alimentation équilibrée
C’est pourquoi nous avons mis en place pour tous nos animaux, un régime équilibré. Tous les 6 mois, un « diététicien d’élevage » vient réguler et apporter la solution à chaque stade physiologique de l’animal en fonction de la gestation en cours, de son l’âge, des bouches à nourrir. Mais cet équilibre alimentaire ne serait rien sans une minéralisation suffisante et contrôlée, garantie d’une bonne lactation, d’une constitution suffisante d’anticorps et des conditions optimum au moment de la délivrance.
Afin de garantir une nourriture saine, comme nos grand-parents le faisaient déjà, nous avons remis en place certaines cultures (betteraves, luzerne, trèfle, petits pois, avoine…) riches en protéines, azote et très énergétiques, elles ne nécessitent aucun traitement et deviennent, une nourriture digestive et équilibrée pour nos animaux.
Un animal qui n’est pas à l’aise, qui n’est pas nourri correctement ne peut pas produire et c’est un élevage qui est vouée à l’échec
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Parlons génétique
On ne peut pas ignorer la génétique, (comme il y a 20 ou 30 ans) Nous sommes confrontés à deux problèmes et nous travaillons donc sur deux axes. Le nombre d’agneaux par mère et la quantité de lait produit.
La reproduction on y arrive en jouant avec des races très prolifique qui font certes plein d’agneaux mais qui ne produise pas assez de lait, cela ne sert donc pas à grand chose … puis nous avons les bêtes qui font des fois 2 ou 3 et qui vont être en repos. C’est ce que j’appelle la constance dans la durée et dans ce cas, soit elles vont trop produire, vont se fragiliser, vieillir prématurément, soit elles vont perdre de la rusticité et nous allons être obligés de renouveler le cheptel en achetant par exemple des brebis que nous serons obligé de complémenter en grain dehors .
La génétique n’est pas que de la productivité ; en définitive dans un mouton on recherche la brebis idéale, une brebis qui fait agneau facilement et qui ne souffre pas, grâce a son bassin développé, au moment de l’agnelage. Il faut savoir qu’une brebis qui a souffert lors de l’agnelage ne développe aucun instinct maternel.
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La génétique c’est une question de morphologie, un animal c’est quoi ? ça mange de l’herbe et ça respire, la respiration est indispensable pour produire le lait, il faut que 400 litres de sang transitent, grâce au cœur, dans le corps de l’animal pour produire seulement 1 litre de lait ! Donc le meilleur animal, si il a une cage thoracique trop petite qui s’est mal développé ou qui génétiquement petit, ne pourra pas développer une respiration suffisante et l’oxygène qu’il faut pour tout ça. Le but pour nous est de réaliser des croisements qui allient toutes les qualités requises d’une femelle assez grande, capable de se déplacer pour aller brouter, qui produit du lait en quantités suffisantes, qui est prolifique et dotée d’un bassin large et d’un mâle, (bélier ou verrat) trapu et « bien fourni en viande ». Ce métissage, bien entendu, ne pourra être reproduit qu’une seule fois et c’est pourquoi nous conservons toujours une « souche pure » pour ces croisements à deux voies.
La qualité pour nous est plus qu’un simple objectif, elle oriente notre travail au quotidien et pour vous assurer un produit encore meilleur, nous nous chargeons du transport vers l’abattoir le plus proche, une manière de limiter le stress de nos animaux..